Pour la soirée annuelle, il avait été décidé à nouveau d'innover : après le bowling de l'année dernière, cette année c'était une séance de Space Laser pour se mettre en appétit, avant d'aller déguster quelques galettes et crêpes chez Martial au Pressoir à Romillé. Récit de cette partie de bonne humeur.

Pour ceux qui étaient arrivés en avance (notamment Jérôme, Mickael et moi pour ne pas donner de noms), il y avait le temps de boire un verre avant de se lancer dans l'aventure. Laurent n'a pas eu le temps, il est arrivé bon dernier, limite en retard.

20h30 c'est le moment de rentrer dans le sas pour revêtir les équipements, harnais et pistolet, et écouter les consignes. Si je résume : on est divisé en 3 équipes (rouge, jaune et bleu), on tire sur tout ce qui bouge et ne bouge pas (sauf quand c'est pas la bonne couleur), on ne coure pas, on ne rampe pas, on ne saute pas, ... 20 mn en tout.

Ensuite c'est l'entrée dans le labyrinthe, pour 20 mn. Et là il n'y a plus de photos, on était trop occupé à tirer partout et à essayer de protéger. Je dirais que globalement ça ressemblait à ça :

20mn c'est à la fois court et long. Ca nous a tous paru très court, mais on est aussi tous ressorti un peu fatigué, et un peu humide, on a bien transpiré malgré le froid dans le labyrinthe.

Et pour finir les résultats. C'est l'équipe bleue qui gagné, mon équipe ;-) Surtout grâce à Philippe qui depuis son bunker a utilisé sa technique de sniper en tirant sur tout le monde tout en restant caché. Comme je l'ai dit, pas très fair play, mais il est pardonné puisqu'il nous a permis de gagner ! Pour ceux que ça intéresse, les résultats. Juste un indice pour savoir qui est Gobione, à l'avant dernière place : c'est la personne très souriante qui a organisé cette soirée.

La petite photo de groupe, avant de partir se restaurer chez martial à Romillé. On remarquera que tout le monde avait un grand sourire.

La suite de la soirée a été plus tranquille, mais tout aussi conviviale. Comme toujours on a beaucoup de plaisir à se retrouver ensemble, que ce soit avec nos chaussures de running aux pieds, ou dans ce genre d'événements. La difficulté est d'arriver à se reconnaître dans nos vêtements de ville.

J'espère que ce petit récit donnera envie à ceux qui n’étaient pas là de venir l'année prochaine.

Vincent