La croisade des templiers

"Faire le récit d'une course" : un exercice périlleux.

 

Alors, pourquoi le faire ? Guéna :"Votre action, à la fois individuelle et collective a eu pour objectif d'atteindre votre Graal. Quel est-il ce Graal ? Moi, simple observatrice, je me pose la question mais le récit de vos aventures m'apportera la réponse."

 

Alors, Banco ! Voici un petit film de notre croisade aux templiers.

 

Au risque de paraître prétentieux, je le dédie aux absents : les gobion(e)s, intéressés par cette aventure il y a un an, mais qui n'ont pu, finalement, être avec nous et à la famille. Vous étiez tous présents, par la pensée, à plusieurs moments de la course...

. Préambule :

  

- La prépa sportive :

  

J'ai bénéficié d'une préparation pour le 56 km du golf, fin juin. Après 2 semaines de No Sport, reprise et entraînement spécifique Templiers (4 à 5 sorties pendant 12 semaines). Difficulté : pas de dénivelé comparable dans la région.

 

Objectif : bouclé une grande distance (72 km) avec un bon dénivelé (3300m +) pour commencer à prendre de la hauteur et de l'assurance.

 

 

- La prépa logistique (pour ceux qui ont envie de tenter l'aventure) :

 

 

 

La chose la plus urgente, fut de trouver où dormir, à pas cher, pas trop loin de Millau, à 7... Nous avons trouvé une petite maison, sympathique et bien tranquille, à 8km de Millau et du site de départ/arrivée, en plein coeur de AGUESSAC, un village assez bien équipé en commerces de premières nécessités (Nota : Gîte de Mme Becquey Hélène, à Compeyre-Aguessac, 165 € les 3 nuits, Nota bis : trouvé mi-avril, déjà plus beaucoup de location de libres pour ce week end là, s'y prendre plus tôt !!).

 

Pour le reste : camion Super U réservé en septembre (nota : il fait 9 places. A 7 c'est bien. A+, c'est juste...) et la nourriture pour compléter l'essentiel de notre escapade chevaleresque.

 

Sur les mêmes proportions que nous, comptez donc un budget de 135 € par personne (seul, le dossard n'est pas compris).

 

 

 

. Introduction :

 

Le Vendredi : après avoir récupéré une ouaille Morbihannaise égarée (il restait une place dans notre convoi, un volontaire a répondu à notre annonce sur Yanoo, nous l'avons adopté...), fait le tour de Romillé et une halte au boulot de Fabrice, à Cesson (certes, j'entends déjà les sarcasmes de certains : "ouais, d'ailleurs le cortège s'est perdu ! Et qui ne sait pas lire un plan ?", OK, OK... C'était une blague... pas d'humour ces gens-là...);

 

Nous prime le voyage à 9h (...de Cesson, suivez un peu !), passèrent dans des décors sympa de l'Auvergne, des Puys, du Cantal, pour une arrivée sur Millau à 18h35 (avec un bouchon accidentel d'1/2 h sur Tours). Juste le temps d'aller chercher nos dossards (Ronan et Fabienne couraient le samedi après-midi) avant que ça ferme... Ouf, nous sommes arrivés.

 

 

 

Je vous passerai les commentaires de la nuit (Ronan ayant absolument voulu partager un canapé 2 places avec moi, les bonnes moeurs de ce site et les gens respectables que vous êtes, ne m'en voudront pas d'instaurer une censure sur ce passage. Nota : ne jamais dormir avec Ronan).

 

 

 

. LA CROISADE DES TEMPLIERS (chap. I)

 

Le Samedi, après une séance photo de nos 2 mannequins-héros du jour, sous le flash de leur 3 ou 4 papparazzi, direction le site de départ pour Le Marathon Des Causses (ta-ta-tin), 39 km avec environ 1800m de déniv +. Les acteurs du jours sont :

- FABienne, dit "FABTOU" :

 

Femme dont on ignore son âge (certainement une vétérante) qui se dit participer à l'épreuve, après un pari (certainement une beuverie) qui doutait de son choix et de ses capacités, mais qui au fil des semaines d'entraînement (au côté de Bernard FAURE, tout de même !) et encouragé par un temps canon au smi de Rennes, semble être prête.

 

Elle est à la fois stressée, mais souriante et "déconneuse" : "AAAAAAAAAAAAHHH !!! J'ai oublié mon portAAAAAAABLE !!!!" en arrivant au départ, à Millau. Le boulet !!! Heureusement, Super Loïc et son Super sonic Fiat Super U ont fait l'aller-retour à temps. Show must go on...

- RONan, dit "RON" :

 

Homme qui de par son métier, sait se faire entendre et traceur de circuits touristiques (le TREK de la Rotte des Gobions... C'est lui !). Pas expérimenté (c'est seulement sa septième course !), il s'est également préparé comme il le fallait et semble prêt à vivre son aventure "comme une rando, certes éprouvante mais pas insurmontable" (c'est sa vision des choses)...

 

Il est tout pareil : stressé, mais souriant et prend la pose sur chaque photo. Pour nous, accompagnateurs, c'est plaisant. Show must go on...

- La course (telle que je l'ai vécu) :

 

13h30, plus de sourires, plus de bruits. Devant nous, au loin, un vague attroupement de personnes que l'on devine prêtes à en découdre (tel des manifestants contre l'écotaxe, vous imaginez ?). Puis cette formidable musique qui fait sonner les watts de la sono : E.R.A. Et bien, on a beau s'y attendre, les frissons nous gagnent quand même et c'est en héros que l'on voit passer nos deux compères au milieu d'une foule étirée de coureurs, qui nous font des signes (les 2 bras en l'air, des sauts de Cabri et de pas chassés devant nous, au cas où nous les aurions manqués...) avant de disparaître de notre champs de vision et que le calme se réinstalle...

 

Permettez ce moment de haute analyse philosophique sur l'Homme et de ses capacités à développer des sentiments humanitaires (le souci de l'autre, de lui faire ou de lui espérer le bien) dans des moments anxiogènes, mais c'est à cet instant que j'ai ressenti quelque chose à la fois de bon, envahissant et angoissant (pas de mauvaises allusions, svp) : stresser pour mes partenaires de jeu, me retrouver en simple spectateur, dans l'attente passive et espérer, espérer...

 

 

 

Problème de cette course, pour les spectateurs : elle est difficilement accessible par la route (faut bien connaître). Nous décidons de nous régénérer (se rincer la galloche et dormir au besoin) et de revenir sur le site vers 17H je crois.

 

 

 

Nous nous positionnons à 1 km de l'arrivée et encourageons, avec nos Gwen Ha Du (Nota : une bonne idée, à retenir...), les coureurs qui portent sur eux les stigmates de leurs peines et de leur courage. Aucune nouvelle, stress au maximum. Puis, séquence émotion : dans la pénombre du chemin descendant, une tâche verte prend forme humaine et laisse deviner la silhouette gobionesque de notre héros du jour : LE SOULAGEMENT, faîtes du bruit !!!!

 

C'est un Ronan aux anges que l'on retrouve, après ces heures d'attente, qui ne paraît pas trop entamé et semble avoir profité au maximum de la beauté du paysage, s'arrêtant pour prendre des photos dès que l'envie lui prenait. Un plaisir et une fierté énorme se dégage de ses premiers récits. Bravo Ronan (547e - 5h43), tu as été FORMIDABLE.

 

 

 

Seul ombre au tableau : il a couru une première partie de course avec Fabienne, avant de la quitter. Il l'a revu à un ravitaillement et ça n'allait pas du tout : une mauvaise chute et une grosse douleur à l'épaule...

 

Inquiétude et stress s'empare de notre délégation. Nous pensons qu'elle n'est pas prête de finir, en espérant qu'elle ai pu repartir, et allons nous positionner à 100m de l'arrivée. A peine installés, à notre grande surprise, accompagnés d'une explosion de joie, qui c'est que voilà ? ELLE L'A FAIT !! 15 mn après Ronan, Fabienne passe le portique d'arrivée avec des larmes communicatives, un faciès fatigué par l'épreuve et probablement la douleur de son épaule, et une joie IMMENSE. C'est bon, la course à pied... Bravo Fabienne (634e - 5h58), tu as été FORMIDABLE.

 

 

 

Retour au bercail, autour d'un bon repas, à entendre les récits de nos héros du jour. Nous, on a les musettes à finir et demain, on se lève tôt...

. LA CROISADE DES TEMPLIERS (Chap. II)

 

 

 

- Jérôme SUPPI

 

Homme trentenaire, frère de Laurent (triathlète de très bon niveau du TOC, ex : 104e du dernier Iron Man d'Hawaî), coureur également d'un très bon niveau qui commence à se faire un joli CV en trail long et court. Que dire d'autres : licencié à Queven, prof d'EPS, "des cuisses ENORMES" dixit Fabienne... C'est lui que l'on a adopté pour notre expédition. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il s'est bien accomodé de l'ambiance et des blagues gentillettes (il chambrait pas mal, quoi).

 

Il a pris son envol parmi les élites, a fait une démonstration de son talent (il y avait du beau monde), tout en restant détaché et en se permettant même de faire un petit film de son épopée. Très cool le garçon, une belle leçon. Il bouclera Les templiers en 8h49 - 71e.

 

Tu as été FORMIDABLE.

 

Petite histoire : Pour sa récupération, le vendredi d'après la course, il s'est inscrit incognito à un urban trail (Quimper). Résultat : il finit 2e et devra certainement s'expliquer avec son coach...

 

 

 

- FABrice dit "Fabouane" ou "FAB le Fabulous"

 

Homme sénior, très mauvais conducteur (il a cale 4-5 fois), ancien tricycliste à l'ASPTT, habitué des entraînements vélos, puis maintenant de la course à pied et du trail. Il se présente également relax, fort d'un chrono de 1h17 à Tout Rennes Court qui le met dans de bonnes dispositions pour aborder la course.

 

Pas invité dans le SAS n°1 des élites, ni même dans le n°2 des privilégiés (ceux qui ont déjà participé à la course), il a réussi quand même à se faire une place, au départ, à la hauteur de ses ambitions "ouais, chè pas. 9H30-10H. On verra bien".

 

Tu parles qu'il était à sa place : 9H49 - 177e.

 

Et ce qui est bien avec FAB, c'est que jamais il se plaint. Il lâchera un très léger "c'était la course la plus difficile que j'ai fait".

 

FAB tu as été FORMIDABLE.

 

 

 

- Mickaël dit "Mike"

 

Homme séduisant d'une petite trentaine d'années, à la morphologie parfaite et au caractère enchanteur... Oups, je m'emporte.

 

Légèrement stressé, j'ai bien travaillé durant ma prépa et je me laisse envahir par l'ambiance du groupe.

 

Normalement, pour moi, c'est le SAS 3 ou 4. Je décide d'escalader les barrières pour me faire une place à, visuellement, la moitié du peloton, en compagnie de Lolo. Départ étoilé (19° C) à 5h15, sur musique d'ERA, comme la veille.

 

Début de course tranquille, collé-serré sur une première très longue montée, avec phases de marche (6 à 11mn au km). Là-haut, on se décolle un peu sur un plateau avec de larges passages en sous-bois (6 à 7mn au km).

 

Au fur et à mesure, le jour se lève. Belle et large descente ou sans forcer, je peux atteindre du presque 11 km/h. Puis 1er ravitaillement au 24e (avec Lolo et nos supporters) où on prend notre temps : nickel.

 

On repart : grosse montée. Ça bouchonne +++. Parfois, nous sommes obligés de nous arrêter plusieurs secondes (14 à 19mn au km). Descente pareille : normalement, on doit se laisser aller et faire du 10, 11 km/h sans effort (voir plus : grosse pente) mais non, devant ça n'avance pas (8-10 mn au km) et nous sommes au trot, le corps en arrière pour freiner, à s'abîmer les articulations et à risquer la glissade (doubler est impossible)... Là j'ai compris que cela serait ainsi encore longtemps (en fait jusqu'à la fin : c'est beaucoup de monotraces et là où on peut courir à 2, il y a toujours un coureur qui prend toute la place avec ses bâtons. Nota : Pas de modestie, placez vous devant au départ ! Nota bis : pour moi, les bâtons sont inutiles sur cette course). Il ne me restait plus que le plaisir de courir dans un paysage sympa.

 

2e ravito : je croise une dernière fois Lolo et nos supporters (pour nous suivre, à cause des Causses qui sont sauvages, il fallait faire de gros détours en voiture... Je les reverrai à l'arrivée). Puis, je pars à mon allure, profitant pour doubler dans les quelques descentes larges.

 

 

 

Basta l'allure de course, concentrons nous sur le paysage. Nous ne sommes plus en forêt, mais avons gagné de la hauteur sur des plateaux magnifiques, avec l'impression d'être sur le toit du monde. Des paysages caillouteux, avec du relief type côtier, et d'anciennes fermes ou étables. Il est difficile d'en parler tellement c'est beau, le mieux est de le voir. A l'approche des ravitos, nous descendons brusquement plusieurs km. Après les ravitos, nous montons brusquement quelques km. Et tout s'enchaîne très bien jusqu'au 61e km (ravito d'eau).

 

C'est l'endroit où il faut être bien car on attaque LA grosse difficulté, une côte méga pente, exclusivement, qui ne se termine jamais. Le ravito solide est en haut (65e). Ensuite, plateau sous les pins (agréable), grosse descente cassante où nous surplombons Millau et son pont. Nouvelle côte impressionnante (mais moins longue), à faire un peu d'escalade. La grotte du Hibou, descente très technique et direction l'arrivée avec drapeau breton et nos fidèles supporters. Ces derniers kms étaient difficiles (Ronan et Fabienne les ont également empruntées la veille) et je suis vidé. Mais très heureux, j'ai été FORMIDABLE (non ?).

 

 

 

Temps ravito Peyreleau km 25 - 2h38 - 1399e

                     St André km 36 - 4h23 - 1416e

                     Pierrefiche km 50 - 6h50 - 1235e

                     Ferme de La Cade km 65 - 10h40 - 955e

Temps final - 12h12 - 910e

- Loïc dit "Lolo"

 

 

 

Petit Homme vétéran, pas débutant, mais n'ayant jamais fait une distance de plus qu'un marathon (déjà pas mal, je vous l'accorde) et pas beaucoup de trails. Une très bonne préparation mais parfois en période de doute sur celle-ci, n'ayant pas de recul ou de moyen de comparaison, ne sait pas trop où il en est. Le smi de tout Rennes Court en 1h25 va le rassurer sur son état de forme.

 

 

 

Concernant sa course : jusqu'à présent j'ai essayé d'être correct et poli, mais Put..., quel chieur ce Loïc !!!

 

Ne l'ayant pas vu au point d'eau du 61e après un long arrêt et après avoir monté, tant bien que mal, cette première grosse côte, après hésitation ("je vais peut-être le déranger"..."mais si, ça va l'encourager"..."il faut le prévenir s'il n'est pas encore dans la côte, d'en garder"...) je profite d'être sur le plat des pins pour lui donner un coup de téléphone : mince, il est dans la pente et il en veut plus... Impuissant (sur le moment...) je me mets à penser à lui, ne pouvant l'aider d'avantage. D'autant qu'après je découvre avec effroi la dernière côte/descente et le chemin qui lui reste à parcourir (et en plus, pour lui, ce sera la nuit)...

 

 

 

Après être arrivé : l'attente. La nuit tombe. Le temps passe (+ d'une heure). Nous guettons, inquiet. Puis le téléphone sonne : "Il arrive, Il arrive !!!" whaou, QUE C'EST BON !! Il nous fait une arrivée incroyable, pleine d'émotions (c'est un chieur je vous dit : comme si on en avait pas eu assez durant le week end !) : Il a été au bout du bout, nerveusement et physiquement, mais surtout au bout de la course. Sébonsa ! 13h21-1394e.

 

Loïc, tu as été FORMIDABLE.

 

 

 

- Gaëlle dit "Mme Popotte"

 

Femme trentenaire d'origine Morlaisienne (c'est son défaut), d'humeur toujours joviale et très expressive (si, si, Gaëlle), elle a marqué de son empreinte ce week end en étant aux petits soins pour nous.

 

Point fort : elle nous a préparé des plats à gogo, avec des choses dedans (?) "que je ne savais même pas que ça existait". A faire pâlir les bons restaurants du coin. Elle a pris une part active à nos performances mais également à la bonne humeur et à la décontraction du groupe. Dévouée pour nous, on peut dire qu'elle a fait les deux courses et qu'elle mérite plus qu'une médaille. Tu as été FORMIDABLE.

 

 

 

. Conclusion :

 

 

 

Partir à plusieurs, sur une épreuve magnifique, difficile mais au final, réalisable par tous, est vraiment quelque chose d'énorme. Un moment simple, pleine d'émotions, de partage et d'esprit d'équipe ("comme les 7 doigts de la main"). Le film est fini. Merci à tous les acteurs de cette histoire : vous avez été FORMIDABLE.

 

 

 

Je vous encourage, amis Gobions, à vivre votre passion à plusieurs et à partir à l'aventure sur un projet commun pour, à votre tour, nous raconter une histoire...

 

 

 

- Mike, Chevalier de Chateaubriand, comté de Romillé -

 

 

 

PS : Et un grand merci au roi Alex Ier et à sa cour pour leur soutien moral et financier. J'espère, mon roi, que l'on a fait honneur à vos armoiries en restant fidèles à vos principes et en revenant victorieux de notre croisade.

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Commentaires: 11
  • #1

    Muriel (vendredi, 08 novembre 2013 09:06)

    Un mot FORMIDABLE !!! Vous avez été FORMIDABLE !!!
    Encore bravo !!!
    super sympa de pouvoir lire votre aventure Merci .

  • #2

    karen (vendredi, 08 novembre 2013 09:12)

    Merci pour ce moment de partage a travers ton récit.
    Pour y avoir passé nos vacances d'été je peux comprendre ce que vous avez ressenti.
    Les paysages sont MAGNIFIQUES.
    Cela donne envie!!!! Mais juste un rêve ,et tout les rêves ne sont pas réalisable.....:-(
    Encore un BRAVO a vous tous.

  • #3

    Fabienne (vendredi, 08 novembre 2013 09:55)

    encore "snifff...!!!"

  • #4

    Le ch..ur (vendredi, 08 novembre 2013 16:34)

    Mike, pour moi, tu a été, tu es et tu resteras FORMIDABLE!

  • #5

    HG (samedi, 09 novembre 2013 12:19)

    Fabrice m'a comté hier soir ses templiers avec le même enthousiasme que toi, heureux d'avoir partagé une super aventure humaine...bravo à tous les ultras trailers.

  • #6

    Alex (dimanche, 10 novembre 2013 07:48)

    Merci de ce rapport. Je retiens que votre croisade s'est bien déroulé et que vous êtes des chevaliers d'avant garde. Le reste des troupes pourra alors suivre votre chemin. Bonne récupération et quelle future conquête trotte à présent dans votre esprit ?

  • #7

    Fabienne (dimanche, 10 novembre 2013 09:55)

    Nombreuses conquêtes, car on se sent pousser des ailes, enfin pour moi qui n'avait encore jamais connu ça. :D Faut que je retombe sur terre...quoique, c'est si beau là haut!

  • #8

    Cathy (lundi, 11 novembre 2013 11:58)

    Effectivement, vous avez tous été FORMIDABLES !! Merci d'avoir partagé cette belle aventure avec nous.

  • #9

    Alain (mardi, 12 novembre 2013 07:22)

    Pas de mot...ou alors: formidable!!

  • #10

    patrice (mardi, 12 novembre 2013 12:28)

    très belle aventure . cela donne envie de participer

  • #11

    Damien (mercredi, 20 novembre 2013 16:04)

    Je ne te connaissait pas cet autre talent Mike ! Des guibolles agiles et une plume alerte… on a envie de figurer sur le prochain récit.